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samedi 11 août 2012

Alzheimer et Parkinson sont des maladies inflammatoires causées par des biotoxines !


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Le caractère inflammatoire de la maladie d’Alzheimer/Parkinson est actuellement confirmé, ne serait-ce que par son nouveau traitement par le bleu de méthylène, sous forme de la spécialitéRember. Nous lisons en effet ceci dans Wikipédia : «Le bleu de méthylène est le produit qui serait actif dans un essai thérapeutique de phase II contre la maladie d'Alzheimer/Parkinson, en inhibant l'agrégation de la protéine Tau, constituant de base de la dégénérescence neurofibrillaire (SociétéTauRX, produit appelé Rember, Prof. Claude Wischick). »
Un autre inhibiteur de la protéine Tau est l’anticorps de synthèse nommé bapineuzumab, développé par la société irlandaise Elan. Ce produit est actuellement en tests de phase III (efficacité) sur 4 000 patients dans le monde. Le laboratoire Johnson & Johnson va investir 1 milliard de dollars afin de commercialiser au plus vite cette molécule. (Science et Vie, janvier 2010, p. 62)
Ce caractère inflammatoire fait suspecter une infection bactérienne. Or, dans de très nombreux cas d’Alzheimer et de Parkinson, l’on retrouve dans les tissus la bactérie spirochète Borrelia burgdorferi, responsable en particulier de la maladie de Lyme. Il convient donc de rechercher et éventuellement d’éliminer cette bactérie par les divers moyens indiqués dans la page en bas   rédigée à son sujet.
L’hypothèse d’une infection bactérienne à l’origine de maladies neurologiques (Alzheimer,Parkinsonsclérose en plaques et même diabète) est fondée sur les travaux du chercheur allemandHeiko Braak, tels que rapportés par Mathieu Nowak dans l’article intitulé « Parkinson, l’incroyable hypothèse » (Science et Vie, novembre 2011, p. 98-102). Les neurones entourant le côlon (appelé « le deuxième cerveau ») présentent parfois des lésions identiques à celles que l’on trouve dans le cerveau (la substantia nigra en cas de Parkinson) de patients atteints de neuropathologies. Des parkinsoniens traités par antibiotiques pour une infection intestinale par Clostridium difficile ont en effet manifesté, dès reprise du transit intestinal normal, une amélioration très nette et durable de leurs symptômes nerveux. Comme dans le cas de la « protéine tau » trouvée dans le cerveau des sclérosés en plaques ou du prion dans l’encéphalopathie spongiforme, des toxines issues de bactéries ou de virus ou d’autres sources externes provoqueraient –d’abord dans la zone intestinale ce qui signe l’importation alimentaire- l’accumulation progressive d’une protéine (l’alpha-synucléine) formant finalement des corps de Lewy entraînant la mort des neurones intestinaux, puis se propageant jusqu’au cerveau avec les conséquences que l’on connaît.
Depuis 1819, quand James Parkinson a décrit la maladie de Parkinson en précisant "nous n'avons trouvé aucune cause pathologique concluante pour expliquer les causes et l'évolution de la maladie", nous avons plus de questions que de réponses concernant l'étiologie et la pathogénèse de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques et de beaucoup d'autres maladies dégénératives du système nerveux ; ces maladies pourraient être classées dans la catégorie des maladies provoquées par les biotoxines. A ce jour, nous ne disposons pas de traitements qui arrêtent ces maladies ou les rendent réversibles.
Des autopsies réalisées sur de jeunes adultes décédés de la maladie de Parkinson n'ont pas démontré de processus dégénératifs. Ces morts semblent avoir été causées par des biotoxines migrantes dans le cerveau, entraînant l'anarchie dans les neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, GABA, acéthylcholine, etc...), dans les membranes nerveuses pré- et post-synaptiques, changeant l'action moléculaire des enzymes, des hormones et de beaucoup d'autres molécules. Finalement, dans l'explication du manque d'énergie et de fatigue invariablement présents dans la maladie de Lyme et dans la liste des 300 maladies présentées comme étant "proches" des biotoxines de Borrelia burgdorferi, un fait de toxicologie moléculaire a été corrélé : les neurotoxines de Borrelia burgdorferiempêchent le calcium de circuler, provoquant une destruction des enzymes et d'autres composants moléculaires impliqués dans la production d'énergie. Des rapports attestent de l'effet toxique de cette bactérie sur les noyaux cellulaires et même sur l'A.R.N. et l'A.D.N.

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