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mardi 22 septembre 2015

Ne pas faire vacciner son enfant peut envoyer en prison, quelle option choisir alors?

L’équation est simple, nous avons d’un côté une obligation vaccinale pour les enfants avec le DT-Polio, ne pas faire vacciner son enfant est considéré comme étant de la maltraitance, voir « une soustraction à ses obligations légales comportant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant« . Seulement, s’il est important de faire vacciner son enfant avec les vaccins légaux, ceux-ci n’existent plus dans le commerce, ils ne sont plus vendus, les labos pharmaceutiques ayant décidé de ne plus vendre que des doses composées des vaccins obligatoires mélangés à des vaccins peu utiles mais qui rapportent au labo en question. De ce fait, vous pouvez permettre l’injection de 6 voir 7 vaccins alors que la loi n’en imposer que 3. Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que nombre de vaccins contiennent des adjuvants, et des composants peu recommandables, et que les effets secondaires peuvent également être désastreux. Quelle voie suivre alors? Faire vacciner son enfants au risque qu’il y ait des conséquences graves? Ou accepter de passer au tribunal au risque de finir en prison?
Par contre, rien ni personne n’a pensé à obliger les laboratoires pharmaceutiques producteurs de ces vaccins à ressortir le vaccin DT-Polio sans vaccins superflus! Ha si, il y a eu le Professeur Joyeux qui a dénoncé cette dérive, gros scandale à la clé, et l’ensemble des bienfaiteurs de ce pays sont passés à autre chose, il y a des sujets qui sont vites oubliés, dès que cela concerne le profit de certains…. Quand au médecin qui a dénoncé ses parents, nul doute qu’il aurait eu beaucoup de succès durant la seconde guerre mondiale!
vaccin

Les époux Larère ont comparu devant le tribunal correctionnel d’Auxerre pour ne pas avoir vacciné leur fillette. Une affaire qui dépasse leur cas personnel.

Les époux Larère ont comparu jeudi 17 septembre devant le tribunal correctionnel d’Auxerre pour ne pas avoir vacciné leur fillette, L. Cette histoire s’inscrit sur fond de défiance grandissante à l’encontre des vaccins, qui touche les pays occidentaux. « L’affaire Larère » est un procès emblématique qui dépasse donc les simples individus, et pourrait n’être qu’une première.

Pourquoi ce procès ?

Marc et Samia Larère étaient poursuivis pour « soustraction par un parent à ses obligations légales comportant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant. » En cause : leur refus de se plier à l’obligation vaccinale. En France, vacciner son enfant contre la diphtérie, la polio et le tétanos est obligatoire (vaccin DT-polio), et ne pas le faire vous fait plonger dans l’illégalité. C’est un délit pénal. Les autres vaccins existants ne sont que « recommandés ».
Ne pas vacciner est considéré comme une forme de « maltraitance », et cela peut nuire à la sociabilisation de l’enfant, puisque l’inscription à l’école lui sera refusée à ses 6 ans (scolarité obligatoire). Les Lalère ont été dénoncés par un médecin.
L’affaire paraît folle puisque leur petite L., aujourd’hui âgée de 3 ans, se porte très bien et n’est pas victime de mauvais traitements. Elle n’est juste pas immunisée contre des maladies potentielles.
Le procureur a requis 4 mois de prison avec sursis et 500 euros d’amende à leur encontre – ils encouraient jusqu’à 2 ans de prison et 30.000 euros d’amende ; leur avocat a demandé leur relaxe. Le jugement sera prononcé le 29 octobre.

Une vraie lacune de notre système vaccinal

L’argumentaire de Marc Lalère est simple. Il affirme ne pas être opposé aux vaccins dans l’absolu. Il ne peut juste pas souscrire à l’obligation vaccinale car il lui est impossible de trouver le vaccin obligatoire sur le marché.
En effet, le DT-Polio seul n’existe plus dans les frigos des pharmacies. Les laboratoires-fabricants lui ajoutent d’autres vaccins, « recommandés » ceux-là. Ainsi, l’enfant subit moins d’injections. C’est du « tout en un ». Sauf qu’en cas d’accident vaccinal, le parent vaccinateur pourra se demander éternellement si c’est le vaccin « non indispensable » (au regard de la loi) qui a provoqué la maladie de son enfant.
J’ai agi en bon père de famille et en citoyen éclairé », a donc insisté Marc Larère, droit dans ses bottes.
Plaidant la « liberté vaccinale », son avocat avait par ailleurs soulevé il y a quelques mois une Question prioritaire de constitutionnalité (QPC) pertinente : contraindre ainsi à la vaccination est-il conforme à la Constitution ? Le Conseil constitutionnel a tranché en mars, répondant que oui. « En imposant ces obligations de vaccination, le législateur a entendu lutter contre trois maladies très graves et contagieuses ou susceptibles d’être éradiquées », ont dit les Sages.
Article en intégralité sur Tempsreel.nouvelobs.com

Source trouver:
Lesmoutonsenrages

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